First Nations Collection 2015 email - Flipbook - Page 59
MEET THE ARTISTS INDIGENOUS COLLECTION
George Pennier
Coast Salish
George was born in Mission City, B.C., in 1957. He began his career in 1976 when he started carving and designing with
help from his cousin, Willis Peters. Later in 1980 George attended Tony Hunt’s designing and carving course and then,
in 1981, worked with Floyd Joseph and apprenticed under Beau Dick and Francis Horne. In addition to silkscreen prints,
George works primarily in wood, carving masks, bowls, plaques and totem poles.
George est né à Mission City, C.-B., en 1957. Il débuta sa carrière en 1976 par la sculpture et le design, aidé de son cousin,
Willis Peters. Plus tard en 1980, George a suivi le cours de sculpture et de design de Tony Hunt, puis en 1981, il a travaillé
avec Floyd Joseph et a été l’apprenti de Beau Dick et Francis Horne. En plus de la sérigraphie, George travaille principalement
le bois, sculptant des masques, bols, plaques et totems.
Melissa Peter Paul
Mi’kmaq
Melissa is a Mi’kmaw woman from Abegweit First Nation, located on Epekwitk (PEI). She began her artistic expression
at a young age, making regalia and beadwork, and is skilled in both traditional and contemporary styles. Melissa’s
exposure to other Mi’kmaq art forms led her to quillwork, a traditional skill in which the ancestors of her maternal
grandfather excelled. Her training was grounded in the traditional insertion technique and utilized the study of both
cultural teachings and formal material culture resources available through historic publications and museums. She
is heavily influenced by 20th century Mi’kmaw quillwork and she is supported in her harvesting efforts by her family.
Melissa est une femme micmaque de la Première nation Abegweit, située à Epekwitk, sur lPÉ. Très tôt, elle a démontré des aptitudes
artistiques pour la confection de parures et de perlages, maniant aussi bien les motifs traditionnels que contemporains. L’exposition
de Melissa à d’autres formes d’art micmac l’a menée à travailler avec des piquants de porc-épic, une technique traditionnelle dans
laquelle les ancêtres de son grand-père maternel excellaient. Sa formation était axée sur la technique d’insertion traditionnelle et
conjuguait les cours pratiques et l’étude des artéfacts présentés dans les publications historiques et les musées. Elle est fortement
influencée par les œuvres micmaques en piquants de porc-épic du 20e siècle et elle est soutenue dans ses efforts de collecte par
sa famille.
Daniel Pitchegigwaneh
P
Ojibway
Born April 3, 1974, Daniel was educated in Europe and speaks several languages. Daniel began to paint Woodland style in
the year 2000 at the age of 26. “In honor to my father, who brought the past to the present, I am taking the present and
putting it to the future, caring for, and holding it for the next generations. My inspiration is from my experience, my dreams,
and my people. I see things for what they are. I paint from the inside. I’m painting the spirit of my people and of it all. I see
the bright colors of our being, the strength and hope. Any person, who believes, feels and opens their eyes, sees the powerful
images. I believe real color has strong healing powers.”
Né le 3 avril 1974, Daniel a fait ses études en Europe et parle plusieurs langues. Daniel a commencé à peindre le style
Woodland en l’an 2000 à l’âge de 26 ans. «En l’honneur de mon père, mon père apporté le passé jusqu’au présent et je projette
le présent vers l’avenir, le conservant et le protégeant pour les générations futures. Je tire mon inspiration de mes expériences,
de mes rêves et de mon peuple. Je vois les brillantes couleurs de notre être, sa force et ses espoirs. Je crois que toute personne
qui se donne la peine d’ouvrir les yeux et l’âme voit ces puissantes images. Les couleurs ont vraiment une grande puissance
curative. Il revient à chacun de nous d’opérer sa guérison. C’est ainsi, je crois, que nous pourrons léguer à nos enfants un
monde meilleur.»
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