Perspectives littéraires n.3 - Journal - Page 25
à être signé, se réfère à ses forêts même dans un post d9inspiration marine (en haut, à droite),
puis inscrit son recueil à peine paru ou en cours d9écriture (posts du bas) dans un paysage arboré.
Même mise en scène du référent forestier qui s9impose comme décor d9arrière-plan, le titre de
l9Tuvre (et son motif dominant, qui en est même le fil conducteur, la clef métaphorique pour ainsi
dire) dans le discours métatextuel, par exemple une interview à la parution du recueil par un
journaliste culturel canadien :
On distingue effectivement derrière Hélène Dorion la forêt, et plus particulièrement sa forêt
d9Orford, celle où elle réside près de Sherbrooke au Sud-Ouest du Québec. Dans ce cas, la forêt
n9est plus simplement illustrative, elle veut se poser comme le territoire à partir duquel l9écrivaine
se détache, autant dire, le point d9origine de l9écriture.
La forêt permet enfin d9afficher la confusion entretenue par l9écrivaine entre l9auteure et son
Tuvre, puisque la page d9accueil de son site web rénové se présente comme suit depuis l9été
2023 :
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