LMi-MAG 9 Sept 2021 - Flipbook - Page 21
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Côté cloud, nous constatons une hausse de l’intérêt, passant de 27 % à 42 %. A l’inverse, le business case d’une
migration vers S/4 n’est toujours pas clair, d’où notre
intérêt pour le process mining.
Pour le sujet du licence management, la perception interne de SAP est différente de celle issue de l’enquête.
SAP veut donc travailler avec l’USF pour améliorer l’image
de l’éditeur à ce sujet. Mais le licence management est
désormais un sujet global qui ne relève plus de la France.
Gianmaria Perancin, président de l’USF,
a longuement détaillé les impacts de la
sortie de l’offre Rise.
met d’éviter des pertes de temps dans les transports. Un
point positif à ce « temps perdu » est malgré tout souvent
oublié : c’est aussi un moment qui permet la réflexion,
une pause dans le flux de sollicitations.
Qu'en sera-t-il de la Convention USF ?
GP : Nous ferons tout pour que la Convention annuelle
se fasse en physique car il est important que nous puissions nous retrouver ensemble au moins une fois par
an. L’écosystème SAP ne peut pas échanger toujours en
virtuel.
Les résultats de l'étude de satisfaction
bisannuelle sur SAP n’ont pas été présentés
à la dernière Convention, comme c’est le cas
habituellement. Pourquoi ?
GP : La quatrième édition aurait dû être diffusée à la
Convention 2020, à Bordeaux, qui n’a pas pu avoir lieu.
Mais la crise sanitaire a perturbé sa réalisation, d’où le
décalage. Nous avons préféré retarder sa publication
pour maintenir sa qualité malgré les difficultés qui ont
occupé les bénévoles de l’association dans leur entreprise respective.
SAP est globalement bien évalué du point de vue produits/services. Il y a aussi de bons points sur l’innovation. Et les annonces d’avril dernier sur l’extension
de la maintenance de SAP ECC ont évidemment été
plébiscitées.
Par ailleurs, nous avons réalisé, début juin 2021, une enquête-flash sur la fin de la maintenance de la base de
données SAP Hana 1.0 le 30 juin 2021. Un tiers avait déjà
terminé la migration, les deux tiers restants étaient bien
informés et avaient prévu une migration peu après la fin
de la maintenance.
La séparation annoncée entre l'audit de licences
et le commercial n'a-t-il pas atteint
ses promesses ?
GP : La séparation est effective. Mais le commercial
reste dans la boucle des échanges avec l’audit. Il y a une
justification à cela : c’est le commercial qui gère la relation contractuelle. Mais cela gêne les clients. Peut-être
qu’une solution pourrait être de n’informer le commercial qu’une fois l’audit terminé, soit pour dire que tout va
bien, soit pour signaler les éléments à régulariser. [Lire
l’intégralité de l’entretien sur lemondeinformatique.fr]
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