MOCI NOVEMBRE 2021-n°2089 - Magazine - Page 35
un aux États-Unis. Quatre autres devraient
prendre leur poste début 2022 : deux pour
le Canada, un pour la Hongrie et un pour les
États-Unis.
Cette implication dans le système des VIE,
Breizelec la porte depuis les tout premiers
débuts de son développement à l’export, il y a
dix ans. « La première personne pour l’export
a été recrutée en 2011. Dès l’année suivante,
nous avons pris des VIE. Pour l’Espagne, l’Italie, les Pays-Bas, la Pologne, le Canada, etc. »,
se souvient Yann Coatmellec, directeur commercial de l’entreprise. « Ils ont pour mission la
prospection commerciale, poursuit le responsable. Nous les envoyons en général sur des
marchés à défricher, ou, comme au Canada où
nous avons une filiale depuis cinq ans avec une
dizaine de salariés, pour appuyer les équipes
déjà sur place. »
La logique sera la même pour l’Australie où
Breizelec devrait créer sa seconde filiale dès
que la réouverture des frontières le permettra.
De l’enthousiasme à revendre
Pourquoi un tel niveau de recrutement de VIE,
www.lemoci.com
© DR
Yann Coatmellec, directeur commercial
de Breizelec.
remarquable pour une entreprise de cette
envergure ? Yann Coatmellec met en avant
deux points principaux : la facilité administrative (en comparaison avec l’envoi à l’étranger d’expatriés) grâce au package proposé
par Business France, et le dynamisme de ces
jeunes diplômés.
« Ils sont en général extrêmement motivés,
très enthousiastes. Ils ont beaucoup d’idées
et nous proposent de nouvelles pratiques, un
regard neuf issu de leur formation et de leur
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